🎯 Partie 1 : Quand utiliser une IA (le feu vert)
✅ Les cas d'usage légitimes et productifs
1. Le brainstorming et l'idéation
Vous fixez un écran blanc depuis 40 minutes ? L'IA excelle à générer des idées de départ, des angles différents, des perspectives inattendues.
Exemple : "Donne-moi 10 angles créatifs pour présenter un rapport financier ennuyeux"
Pourquoi c'est OK : Vous utilisez l'IA comme tremplin, pas comme rédacteur final. Le cerveau reste aux commandes.
2. L'apprentissage et l'explication
Pour comprendre un concept complexe, obtenir une métaphore éclairante, ou décomposer un sujet technique.
Exemple : "Explique-moi la blockchain comme si j'avais 12 ans et que j'aimais les pizzas"
Pourquoi c'est OK : L'IA devient votre tuteur personnel, disponible 24h/24. Vérifiez ensuite avec des sources fiables.
3. Le code et le débogage
Pour générer du code boilerplate, identifier des bugs, comprendre une syntaxe obscure.
Exemple : "Pourquoi ce code Python me renvoie une erreur de type ?"
Pourquoi c'est OK : Le code est vérifié, testé et adapté par vous. L'IA accélère, ne remplace pas.
4. La révision et l'amélioration
Pour polir un texte que VOUS avez écrit, améliorer la clarté, corriger la grammaire.
Exemple : "Rends ce paragraphe plus concis sans perdre les informations clés"
Pourquoi c'est OK : L'idée et la substance viennent de vous. L'IA est votre relecteur exigeant.
5. Les tâches répétitives et chronophages
Formater des données, générer des templates, créer des variations de contenu.
Exemple : "Transforme cette liste en tableau HTML avec colonnes nom, date, statut"
Pourquoi c'est OK : Vous libérez du temps pour des tâches à plus forte valeur ajoutée.
6. La recherche préliminaire
Pour obtenir une vue d'ensemble rapide d'un sujet avant d'approfondir.
Exemple : "Quels sont les principaux arguments du débat sur l'énergie nucléaire ?"
Pourquoi c'est OK : C'est un point de départ, pas la destination. Vous vérifiez ensuite avec des sources primaires.