L’art délicat de dire “non” sans culpabiliser (ni tout casser)
Apprendre à fixer ses limites, préserver son énergie et garder le sourire en milieu associatif — un savoir-faire essentiel, presque spirituel.
Le piège du "oui" perpétuel
Dans l'univers associatif, il existe une créature mythique que tout le monde connaît : celle qui ...
Pourquoi c'est si difficile
La culpabilité qui accompagne le refus n'est pas anodine. Elle prend racine dans plusieurs mécani...
Les conséquences du "oui" automatique
Accepter sans discernement ne rend service à personne. L'épuisement. Le burn-out associatif est ...
Les fondations d'un "non" sain
Dire "non", ce n'est pas claquer une porte. C'est ouvrir un espace de dialogue honnête. 1. Conna...
Comment dire "non" avec élégance
Un refus bien formulé n'a rien d'une agression. Voici quelques pistes concrètes : La clarté avan...
Cultiver une culture collective du "non"
Le "non" individuel ne suffit pas. Pour qu'il soit vraiment libérateur, il doit être soutenu par ...
Le "non" comme acte politique
Dans un monde qui valorise la productivité, la disponibilité, la performance, dire "non" est un a...
En guise de conclusion : la sagesse de la limite
Il existe une sagesse particulière dans l'acte de refuser. Elle tient dans la reconnaissance de n...